D’où vient le tout premier vaccin ?

Le vaccin est l’injection d’une substance dans l’organisme en vue de l’immuniser ou bien de le guérir contre une maladie. Le premier vaccin a été découvert entre 1749 à 1823 par Edward JENNER puis Louis Pasteur a continué la recherche en 1877 à 1887. C’était un vaccin contre la variole, une maladie très fréquente chez les vaches et semblable à la variole rencontrée chez l’homme. Ce premier vaccin a été nommé la vaccine. Étymologiquement, la vaccine vient du mot latin « Vacca » qui veut dire vache en français. L’expérience du vaccin a été faite avec un enfant de huit ans atteint de la variole. Ce vaccin s’est très vite propagé dans le continent européen.

Comment déroule la vaccination ?

L’injection du vaccin se fait au niveau du bras pour les adultes et sur la partie de la cuisse pour les bébés de moins d’un an et demi. Un enfant depuis sa naissance jusqu’à l’âge deux ans doit subir dix injections. L’injection du vaccin doit toujours être suivie d’une deuxième dose. Le vaccinateur examine la personne à vacciner avant d’injecter le vaccin. Il faut savoir si la personne à vacciner est enceinte ou si elle a une quelconque allergie. Après un vaccin, la personne doit prendre un repos de deux jours. Certaines réactions peuvent se présenter après la vaccination alors il faut rester quelques minutes à l’endroit où le vaccin a été fait.

Insuffisance rénale chronique : c’est quoi ?

C’est une maladie qui survient à partir du moment où les reins commencent à perdre, de manière progressive, leur capacité à assurer son rôle : filtrer les toxines et les déchets dans le sang. Une personne qui est atteinte par l’insuffisance rénale peut éventuellement souffrir de fatigue et d’essoufflement. D’ailleurs, c’est principalement pour cette raison que la dialyse devient un traitement obligatoire à un certain moment. Il est à noter que l’insuffisance rénale chronique, comme son nom l’indique, est une maladie dont on ne peut plus s’en débarrasser une fois qu’on en est atteint. En revanche, il est tout à fait possible d’arrêter ou de ralentir sa progression.

Comment prévenir l’insuffisance rénale chronique ?

De nos jours, il n’est pas vraiment étonnant de voir que l’insuffisance rénale devient une maladie très répandue. En effet, le nombre de personnes qui souffrent de diabète ou d’hypertension artérielle (voire même des deux en même temps) devient de plus en plus important. Or, ces deux maladies sont les principales causes de l’insuffisance rénale chronique. La prévention de ces deux premières est alors la meilleure solution de prévenir cette dernière. Lorsqu’on souffre de diabète et d’hypertension artérielle, la chance d’attraper la maladie du rein est doublée. Les plus petits vaisseaux sanguins dans les reins sont rapidement endommagés. Si l’on est déjà atteint par ces maladies, il est vivement conseillé de suivre à la lettre les traitements prescrits par le médecin. Sinon, la meilleure manière de prévenir n’importe quelle maladie est l’adoption d’une alimentation saine et équilibrée. Ce mode de vie s’avère être toujours efficace pour rester en bonne santé.

Certaines maladies causent la dépendance

Parmi les causes de la perte d’autonomie se trouvent certaines pathologies bien identifiées. Les maladies neurodégénératives par exemple entraînent la perte de mobilité des seniors. Parmi celles-ci, on trouve la maladie d’Alzheimer. Cette pathologie génère une perte irréversible et progressive des fonctions mentales. À un stade avancé de la maladie, la personne qui en souffre devient entièrement dépendante. On trouve aussi la maladie de Parkinson. Les muscles de la personne atteinte deviennent raides. Ce qui entraîne une perte de mobilité.

Les accidents vasculaires cérébraux ou AVC causent aussi une perte de la fonction cérébrale. Les séquelles de ceux-ci dépendent de la partie atteinte. Cela peut entrainer une perte de la capacité à parler, à se déplacer, etc.
L’arthrose des articulations ainsi que les fractures dues à une chute peuvent être d’autres facteurs entrainant la perte d’autonomie d’une personne âgée.

Les solutions face à la perte d’autonomie

Certaines maladies sont irréversibles. Les traitements mis en place par les médecins se limitent ainsi à l’amélioration des conditions de vie du senior. Une personne âgée dépendante a besoin d’être assistée dans son quotidien. Aujourd’hui, le maintien à domicile des seniors est facilité. En effet, les familles peuvent de nos jours recourir à des entreprises comme OuiHelp à Paris pour obtenir une aide à domicile. Un auxiliaire de vie se rendra alors chez la personne âgée durant les dates convenues pour accomplir les tâches définies par sa famille. Selon le degré de dépendance du senior, l’intervenant peut proposer de l’aide à la toilette, faire le ménage, l’accompagner lors de ses diverses sorties (rendez-vous médicaux, courses, etc.). Il peut aussi s’occuper de la cuisine, ou juste lui tenir compagnie pour éviter la solitude. Si l’état de santé du senior se dégrade et que le maintien à domicile n’est plus possible, la maison de retraite est la seule alternative. Le senior pourra bénéficier en permanence des soins qui lui sont nécessaires.

De quoi s’agit-il ?

L’infection urinaire est due à la présence de bactéries dans le circuit urinaire de la personne atteinte. Cette maladie touche surtout la gent féminine pour des raisons anatomiques. Selon les chiffres, environ deux millions de femmes en sont victimes chaque année. En effet chez les femmes, ces bactéries qui viennent de l’extérieur peuvent atteindre facilement le circuit urinaire. Ceci, parce que leur urètre est très court. Ce qui n’est pas le cas chez les hommes.
Il existe trois types d’infections urinaires. La cystite infectieuse est la plus courante. La vessie de la personne est envahie par des bactéries intestinales provenant de l’anus. Il y a ensuite l’urétrite infectieuse qui atteint uniquement l’urètre. Enfin, la pyélonéphrite est plus grave. En effet, les bactéries de la vessie montent vers les reins.
Généralement, la personne qui souffre d’infection urinaire a des envies fréquentes d’uriner. Elle ressent aussi une sensation de brûlure lorsqu’elle urine à cause de l’inflammation de l’urètre. L’urine peut aussi dégager une odeur forte.

Comment prévenir et traiter l’infection urinaire ?

L’infection urinaire est une affection banale qui peut être traitée facilement par la prise d’un médicament spécialisé. Il est important d’effectuer le traitement afin d’empêcher les bactéries d’envahir les reins. Le malade doit boire beaucoup d’eau durant le traitement. Ceci est aussi une mesure préventive, car l’eau favorise la vidange de la vessie en vous obligeant à uriner fréquemment. La rétention d’urine accélère la prolifération des bactéries. Pour ne pas être victime de cette affection, vous devez aussi réduire les chances que les bactéries atteignent votre circuit urinaire. Pour cela, une bonne hygiène quotidienne de la région anale et vulvaire est indispensable. Après être allé à la selle, il ne faut jamais s’essuyer de l’arrière vers l’avant. Après une relation sexuelle, pensez aussi à uriner afin d’évacuer les bactéries qui ont pu entrer dans votre vessie.

L’eau de riz

La vertu de l’eau de riz est remarquable en cas de diarrhée infantile. Ce breuvage est riche en nutriments essentiels qui aident à la réduction de la diarrhée ainsi qu’au ralentissement de la déshydratation que le corps de l’enfant subit.

Thé à la camomille

Les propriétés digestives et antimicrobiennes de la camomille sont très connues pour aider à atténuer, voire même à résoudre, les épisodes désagréables de la diarrhée. En effet, les substances qui constituent la plante ont la propriété de réparer la muqueuse ainsi que de réduire l’inflammation.

Mélange d’eau chaude, de citron, de sel et de bicarbonate de sodium

Cette préparation concoctée à partir de ces ingrédients bien précis est une boisson parfaitement saine. Après avoir souffert de diarrhée, l’enfant est grandement exposé au risque de déshydratation. Le mélange régule les niveaux d’électrolytes et limite ce risque.

Purée de carottes mélangée à du miel

C’est un remède digestif très efficace pour que l’enfant se rétablisse rapidement de la diarrhée ainsi que de l’irritation gastrique y afférent. Le goût de cette préparation qui est assez agréable fait d’elle un meilleur traitement pour les enfants On peut en être sûr qu’il avale la bonne dose sans trop de difficulté.

Boisson à base de pommes

La pomme est un fruit qui est très connu pour sa forte teneur en acides organiques. Une substance qui aide grandement à améliorer la digestion. En effet, il neutralise l’irritation au niveau de la muqueuse gastrique. Par conséquent, une boisson aux pommes aide à combattre contre la déshydratation et à réduire les éventuels inconforts engendrés par la diarrhée.
Ceci étant dit, il existe certains cas de diarrhée infantile qui nécessitent l’intervention d’un pédiatre. Il est alors conseillé de toujours prendre l’avis de ce spécialiste avant de prendre la décision de traiter la pathologie avec ces solutions naturelles.

Généralité sur la leucémie

La leucémie est une maladie qui se développe dans les cellules sanguines. Il s’agit d’une infection hématologique. Les cellules du sang touchées par la leucémie vont alors se transformer soit en des cellules souches myéloïdes, soit en des lymphoïdes.
Pour faire simple, quand la leucémie est présente, les globules blancs cancéreuses ne fonctionnent plus normalement, elles ne vont donc plus jouer leur rôle immunitaire et par la suite, empêcher les autres cellules sanguines de se développer. En outre, ces cellules cancéreuses vont devenir extrêmement nombreuses pour envahir le sang et causer un disfonctionnement des cellules ainsi que des différents organes du corps humain.

Les types de leucémie

Pour faire simple, on est en face d’un cancer du sang lorsqu’il y a des cellules malignes qui ne fonctionnent plus normalement. Lorsque le globule blanc anormal n’arrive pas à maturité et se multiplie en excès, il y aura alors leucémie aigüe. Ce genre de leucémie apparaît de manière soudaine et se développe très rapidement ; quelques semaines ou même quelques jours ou quelques heures suffisent pour que le cancer envahi tout le corps.
Les globules blancs qui ne fonctionnent pas normalement, peuvent aussi causer une forme de leucémie chronique, ce type de cancer du sang se développe plus lentement et il peut durer des mois ou même des années.

Les mesures préventives

Il existe des mesures préventives pour lutter contre la leucémie, comme éviter les contacts avec les produits cancérogènes tels que les insecticides, le benzène etc. Il faut aussi éviter de vivre près des stations-services ou des lignes à haute tension. Ce qu’il faut c’est consommer des aliments anti cancers comme le corossol, l’ananas et l’aloe vera. L’obésité peut aussi être un facteur qui augmente les risques de leucémie.

Causes de l’apnée du sommeil

Le SAHOS est causé par un dysfonctionnement des voies aériennes supérieures. Ce dysfonctionnement est favorisé par les facteurs suivants :
– Un surpoids : un dépôt de graisse à l’arrière-gorge bouche les voies respiratoires.
– Des antécédents chirurgicaux, ORL ou des allergies qui ont entrainé une obstruction des voies nasales
– L’âge et le sexe : l’apnée du sommeil apparaît lors du vieillissement, et est plus fréquente chez les hommes que les femmes.
– La forme de la cavité buccale elle-même (amygdales, luette, base de la langue…)
– La consommation d’alcool, de sédatifs et de tabac.

Conséquences de l’apnée du sommeil

Les pauses de respiration provoquées par le SAHOS durent 10 à 30 secondes et se répètent au moins cinq fois par heure de sommeil. Ces arrêts respiratoires réduisent l’oxygénation du cerveau. Celui-ci réagit en provoquant à chaque fois un réveil (micro-réveil) de l’individu, qui n’en a pas conscience. Le sommeil est alors saccadé, et très perturbé.
La personne présentant une apnée du sommeil somnole alors dans la journée, et a des assoupissements incontrôlables. Elle éprouve une difficulté à se concentrer et a des troubles de la mémoire. Cette personne est alors moins efficace au travail. Par ailleurs,
A noter que le syndrome d’apnée-hypopnée obstructive du sommeil est un risque important de mortalité et favorise l’AVC.

Les comportements modérés

Dans le stade d’évolution de la maladie d’Alzheimer, les comportements modérés se relatent par une affectation sur l’humeur, les sentiments, les comportements, mais aussi, les diverses capacités motrices et fonctionnelles du malade. Cette étape va ainsi, entrainer des changements significatifs sur le quotidien du malade et de ses proches. Par ailleurs, pour bien cerner cette maladie et ses comportements à ce stade, quelques symptômes suivants sont à prendre en compte. Par rapport aux capacités cognitives, les troubles de mémoire vont s’aggraver, les pertes de concentration se feront plus conséquentes, les confusions se relateront de plus en plus dans la logique du malade. Mais également, le malade sera désorienté dans le temps et dans l’espace et aura beaucoup de mal à avoir de la compréhension dans les mots ainsi que de les exprimer. Il aura également du mal à faire des choix. Par rapport aux humeurs et aux émotions, le malade présentera une variation d’humeur et un sentiment d’insécurité permanent. Concernant le comportement, on relatera une passivité et une appréhension conséquente chez le malade. Elle sera accompagnée de comportement d’errance et d’agitation. Le malade sera également victime de geste à répétition et d’hallucination diverse. Enfin, par rapport aux capacités physiques, un besoin d’accompagnement dans les activités quotidiennes se fera sentir. Le cycle de sommeil et de l’appétit seront également troublés. On remarquera aussi, des problèmes de coordination du notamment aux soucis spatiaux.

Les comportements sévères

Considérés comme un stade grave, les comportements sévères des malades sont les signes que la maladie est avancée et qu’à cet effet, leurs capacités cognitives sont en très nettes régressions. Par ailleurs, le malade aura énormément de mal à s’exprimer et à optimiser la communication verbale. À cet effet, il est logique qu’il ait des besoins d’accompagnement dans la réalisation des activités basiques quotidiennes. Dans ce contexte, les aidants ainsi que la famille devront prendre des décisions qui auront pour objectif de faciliter la période de fin de vie du résident. Par ailleurs, il est essentiel de considérer et d’optimiser les attentes et les besoins de ce dernier afin de guider la prise de décision dans les traitements thérapeutiques tout en respectant la dignité et la sécurité du résident présentant des signes de comportements sévères.

Conséquences néfastes des médicaments pris en automédication

Spécialement pour les médicaments anti-rhume, leurs composés ont des effets indésirables démesurés sur l’organisme. Ces composés sont le vasoconstricteur (contre le nez bouché), l’antihistaminique (pour arrêter le nez qui coule) et le paracétamol (contre les maux de tête). Pris en surdosage, les médicaments anti-rhume peuvent provoquer des vertiges et même des accidents cardio-vasculaires. En effet, le vasoconstricteur contracte non seulement les vaisseaux sanguins nasaux mais aussi ceux de tout l’organisme.
Pour certains sirops contre la toux, leur consommation affecte la capacité à conduire une automobile. Le danger est accru chez les femmes enceintes. La prise d’une seule pastille contre la toux et contenant un anti-inflammatoire non stéroïdien ou une aspirine a de grosses incidences sur le fœtus. Cela peut affecter les reins, le cœur ou le poumon du fœtus, qui peut en mourir.

Lire la notice et les pictogrammes

La meilleure chose à faire en automédication est bien sûr de lire la notice. Malheureusement, la plupart des gens peine à le faire, la notice étant difficile à lire, les caractères étant trop petits. Mais pour nous épargner de ces efforts, il faut lire en premier la rubrique « Quelles sont les informations à connaître avant de prendre… ? ». La notice de chaque médicament est aussi disponible sur le site de la base de données publique des médicaments.
Les pictogrammes donnent également des indications sur les effets possibles du médicament, surtout ceux relatifs à la conduite de véhicule et à la grossesse. Ces pictogrammes sont obligatoires sur l’emballage des médicaments présentant ces effets.